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Par Dominique Moret - ingénieur bio-électronicien géobiologue inventeur

Comment parler de la vieillesse sans passer en revue les théories les plus intéressantes sur le vieillissement ?

Nous commencerons par Hart & Setlow qui énoncent une théorie dans laquelle interviennent les mécanismes d’auto-réparation dans les cellules ; l’ADN de la cellule se trouve en permanence endommagé et réparé. Une cellule âgée réagit différemment à la dégradation de l’ADN par rapport à une cellule jeune. Le vieillissement serait la conséquence de cette réparation défectueuse de l’ADN. Cela permet de mieux comprendre la limite de Hayflick (50 divisions maxi), à partir de laquelle la dégradation du programme de base est trop importante et la cellule cesse de se diviser.

Orgel, lui, suppose que le vieillissement est la conséquence d’erreurs survenues dans le mécanisme de production des protéines enzymatiques. Ces erreurs s’accumuleraient avec le temps.

Le point commun de ces théories est à chaque fois la dégradation des protéines ce qui engendre une dégradation de l’organisme concerné.

Mais une autre perspective apparaît avec la théorie de Sternheimer sur le chant des protéines ; la dégradation du milieu environnant de la cellule qui est à l’origine de la production des protéines, engendrerait une dégradation de ces mêmes protéines, nous sommes toujours dans la dégradation protéique.

Tout d’abord voyons ce qu’est le chant des protéines découvert par Sternheimer. Sternheimer a fait une découverte intéressante sur la production des protéines par la cellule. Il a tout d’abord mis au point une gamme musicale ou chaque note correspond à une partie de protéine ou molécule. Ensuite il joue une mélodie de quelques notes (environ dix) qui correspond à la production exacte d’une protéine. L’organisme fabrique ainsi une protéine particulière. L’expérience est reproductible à volonté !

Comment se produit cette fabrication d’une protéine avec des sons?. La réponse se trouve dans le livre du Docteur Masaru Emoto "Le message de l’eau". Dans cet ouvrage nous voyons des formes de cristaux d’eau différents selon ce à quoi elle a été exposée. Les sons produisent aussi des cristaux de formes diverses et variées selon les mélodies. Les sons utilisés par Sternheimer produisent aussi des formes cristallines différentes selon les notes jouées. Ce qui revient à dire que les molécules d’eau s’agencent sous des formes diverses. Ces structures ou clusters (1) passent la membrane cellulaire en utilisant les canaux ioniques de la membrane. Ils se retrouvent ainsi autour du noyau et vont agir directement sur l’ADN.

Nous avons donc là la forme physique de la mémoire de l’eau. Les sons produits par Sternheimer produisent des clusters particuliers dans l’eau entourant la cellule ainsi que son noyau. Ces clusters ont la particularité de résonner à des fréquences électromagnétiques particulières selon l’assemblage réalisé. Ces clusters entourant le noyau de la cellule et rayonnant des fréquences électromagnétiques particulières, par résonance, vont la faire aussi entrer en résonance à des fréquences très spécifiques permettant ainsi d’envoyer un message particulier de fabrication de protéines aux cellules. L’hypothèse serait que ces fréquences électromagnétiques exciteraient en fait certaines séquences dans l’ADN par une légère électrisation, commandant ainsi à la cellule la fabrication d’une protéine par excitation d’une séquence particulière. Ce phénomène est utilisé lors du clonage, après injection au sein de la première cellule constituée, on soumet la cellule à un choc électrique pour faire repartir la division cellulaire. Etrange et troublant n’est-il pas ?

Une expérimentation faites depuis déjà quelques dizaines d’années, nous permet de mieux comprendre et d’admettre cette hypothèse de travail : Des groupes de cellules sorties de leur milieu (prélevées sur le corps d’un être humain) continuent bien au-delà de la limite de Hayflick. Il y aurait donc une relation étroite entre les divisions cellulaires (le vieillissement) et le milieu de la cellule, c’est-à-dire l’eau extracellulaire. Cette eau qui a une capacité naturelle à mémoriser, est en fait la mémoire de la cellule. Des travaux effectués depuis déjà une vingtaine d’années semblent le prouver : les expérimentations faites avec le système Mora®(2), le système IMED®(3) ainsi que le système ISEND®(4).

Tous trois utilisent un mode d’action faisant intervenir : la mémoire de l’eau, pour ré-informer la mémoire de la cellule. La consommation de cette eau par les patients et les résultats obtenus sur les allergies et les maladies auto-immunes et quelques maladies dégénératives nous autorisent à penser que ces systèmes agissent sur la mémoire cellulaire. Nous allons voir maintenant comment fonctionne cette mémoire. Un schéma vaut mieux que mille mots dit-on.

Dans ce mode de fonctionnement la cellule traite en permanence les informations entrantes, ces informations sont sous la forme de clusters contenus dans l’eau autour de la cellule. Les informations une fois traitées participent à une boucle réentrante qui n’est pas sans rappeler le mode de fonctionnement du neurone au sein du cerveau dans sa façon de gérer et de traiter les informations. Toute information traitée par la cellule reste indéfiniment dans cette boucle rétroactive. Cette mémoire se trouve ainsi avec le temps embarrassée avec des informations qui vont perturber progressivement le mode de réaction de la cellule. L’ADN n’y serait pour rien, lui n’est que le programme de base de la cellule, la mémoire de la cellule étant ce qu’elle va en faire. Un exemple pour comprendre, un PC de bureau possède un programme de base (Windows®) capable d’exploiter les ressources de votre PC ; la mémoire de votre ordinateur enregistre ce que vous tapez. Le programme de base de la cellule est là pour exploiter les ressources de la cellule, la mémoire cellulaire est là pour piloter l’exploitation de ces ressources, mais aussi pour lui permettre de s’adapter aux conditions externes. Plus cette mémoire est perturbée, embarrassée, saturée d’informations parasites et plus la cellule va s’éloigner de son programme de base. A un stade donné de cette dérive, la cellule cesse de se diviser car son programme de base et sa mémoire sont en opposition. A ce moment précis, les deux programmes s’opposant l’un l’autre génèrent ainsi des conflits, la cellule pour les résoudre n’a pas d’autre choix que de cesser de se diviser.

Le vieillissement y aurait ainsi son siège et une voie possible d’action semble se profiler dans cette perspective. On peut imaginer un jour avec les avancées technologiques réalisées, qu’un appareillage suffisamment performant permettra un effet suffisamment important pour agir de façon sensible sur le vieillissement. Mais d’ici là il nous faudra nous contenter de ralentir le vieillissement par une approche bioélectronique, par notre mode de vie, par l’eau que nous buvons mais aussi par le lieu ou nous vivons. En espérant que ces avancées technologiques voient le jour avant la fin des nôtres. On peut rêver qu’un jour prochain le sarcophage de “Stargate” verra le jour grâce aux avancées dans ce domaine.

(1) Les clusters sont des structures cristallines de l’eau, ou agglomérats moléculaires formés par la liaison hydrogène, dont la forme et la taille varient selon l’information véhiculée. Ces structures sont mises en évidence par les travaux du docteur Masaru Emoto dont le livre "Le message de l’eau" offre au lecteur des images très révélatrices sur les structures cristallines de l’eau. Ces structures composées de macromolécules d’eau contenant des informations pénètrent la membrane cellulaire probablement par le biais des canaux ioniques et sont « digérées ». L’eau structurée ne serait rien d’autre que ces structures.

(2) Système créé en 1977, Mora étant la contraction de Docteur Franz Morell et Erich Rasche ingénieur en électronique.

(3) Système inventé par un chercheur français du sud de la France.

(4) Système créé par votre serviteur et faisant l’objet d’un dépôt de brevet, primé au Lépine 2001, coupe de la chambre permanente des métiers.

Ces appareils modifient le terrain par une approche Bio-Électronique et ne peuvent donc se substituer à tout autre traitement médical

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De la mémoire cellulaire au chant des protéines de

Sternheimer ou la vieillesse expliquée