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Par Dominique Moret - ingénieur Bio-électronicien géobiologue et inventeur

Comment expliquer la mémoire de l’eau sans faire intervenir des théories aussi fumeuses qu’invraisemblables? Dans cet exposé je m’appuierai uniquement sur des phénomènes ou des lois physiques constatées et connus ou sur des expérimentations déjà réalisées. Commençons par la dynamisation ou électronisation de l’eau : L’eau circulant dans un conduit naturel ou artificiel génère un champ électrique continu par frottement avec les parois. Ce frottement arrache des électrons à la matière environnante, l’eau se chargeant ainsi en électrons, augmentant son potentiel Redox (Rh2), mais aussi sa résistivité par orientation du dipôle selon un autre axe créant ainsi une structuration dynamique de l’eau encapsulant les sels minéraux et la rendant ainsi résistante dans un plan et conductrice dans l’autre plan perpendiculaire au premier. L’eau stagnante perd progressivement ses électrons aux surfaces en contact, mais aussi son orientation redevenant ainsi moins résistante et un Rh2 plus bas. Les ondes électromagnétiques ont aussi la capacité de structurer l’eau par un phénomène de résonance. La résistivité s’accroît. La structuration s’effectue par une orientation du dipôle de H2O, grâce à l’une des composantes de l’onde (champ magnétique) et à la polarité de l’onde.

La dynamisation de l’eau est la structuration de l’eau. Lorsque l’on agite le flacon d’eau on produit un frottement de l’eau sur les parois ce qui génère un champ électrique, donc alignement des dipôles grâce au champ magnétique, donc structuration de l’eau.

Mais entrons un peu plus dans le détail : Cette dynamisation est effectuée soit par des chocs répétitifs (par succussion) soit par agitation du flacon. Dans les deux cas il y a frottement de l’eau sur les parois du récipient et donc l’eau arrache des électrons aux parois du flacon. Elle se charge électriquement en récupérant des électrons, ce qui a pour effet de créer un champ électrique continu uniforme et donc, pour conséquence, un champ magnétique continu et uniforme, qui lui va orienter tous les dipôles H2O dans un seul plan. L’eau structurée entourant chaque molécule de matière dissoute ainsi que l’eau liée se mettent ainsi à résonner sous l’effet du champ électrique continu généré par le frottement. Chaque structure ou cluster émet une ou plusieurs ondes électromagnétiques spécifiques du corps dissout. Chacun de ces clusters se comporte comme un émetteur radio produisant ainsi en trois dimensions une multitude de zones localisées par des interférences, des nœuds électromagnétiques, où l’eau va se structurer naturellement reproduisant ainsi la structure émettrice par un phénomène de résonance. Cette eau structurée nous intéresse pour comprendre le phénomène de la mémoire de l’eau. L’eau aurait la capacité de se structurer selon un agencement cristallin très intimement lié à la nature de la molécule présente en elle. Cette structure cristalline liquide serait tout à fait capable de reproduire les émissions électromagnétiques correspondant à cette molécule, par une résonance ou oscillation. Il y aura par ce phénomène mimétique naturel, multiplication de l’information ou dynamisation de la préparation. Ce sera ainsi progressivement non plus la matière mais l’eau structurée qui acquièrera les propriétés nécessaires, par le système des fréquences spécifiques aux éléments dissouts, pour avoir un effet sur les êtres vivants.

Il nous reste à voir un dernier phénomène, Les Korsakhoviennes. Les K sont obtenues par des dilutions successives sans rincer les parois du flacon où sont réalisées les dilutions. On vide et on remplit à nouveau avec de l’eau, sans rincer. On rencontre encore le même phénomène de frottement de l’eau sur des parois qui génère un champ électrique. Il y a toujours productions de structuration des molécules d’eau suivant les émissions faites par les molécules de matières présentes ou par les clusters d’eau structurée, ainsi que les interférences ou nœuds électromagnétiques. Ici il y a un autre phénomène : les interférences, avec des fréquences préalablement présentes dans la dilution précédente, produisent des ondes de fréquences plus élevées de 1/16 1/8 1/4 1/2 longueur d’onde. Le fait de vider remplir successivement plusieurs fois finit par produire de plus en plus de clusters ou macromolécules d’eau structurées oscillant à des fréquences de plus en plus élevées ou des dilutions de plus en plus grandes, en fait le spectre d’émission s’étend en montant en fréquence. Pour le comprendre il suffit de faire l’expérience avec deux diapasons de fréquence différente. Ils vont générer plusieurs fréquences différentes en harmonique.

Ce phénomène existe aussi pour les préparations homéopathiques ne contenant qu’une seule dilution mais là il n’est pas prédominant car la diminution du signal est très importante dans ce cas.

La mémoire de l’eau se situerait au niveau de l’agencement des molécules (eau structurée) ou clusters. En premier lieu il faut savoir que la molécule d’eau composée de trois atomes aurait un angle d’ouverture variable. Cet angle nous permet de constituer des figures géométriques différentes dans un plan horizontal. L’empilement de ces figures géométriques constitue les structures cristallines ou clusters dont nous parlions plus haut. Les angles formés entre les divers plans se superposant offrent toujours une symétrie miroir. Lors de la succussion, agitation ou dynamisation, ces pyramides doubles (base contre base) sont cassées en deux (7). Le champ magnétique et le champ électrique présent grâce au frottement, forcent les molécules d’eau restées encore libres à se coller aux demi structures encore intactes. Les angles entre les divers plans horizontaux sont toujours symétriques, c’est pour cette raison que nous retrouvons les mêmes structures après reconstitutions. Une demi structure amenant toujours à constituer son exacte réplique comme vue dans un miroir.

Cette eau structurée ou structure cristalline, exacte réplique électromagnétique de la molécule de matière préalablement présente dans l’eau, possède une signature électromagnétique rigoureusement identique capable de lui faire passer la barrière de la membrane cellulaire en utilisant les canaux ioniques de la membrane et de piloter ainsi la fabrication de protéines en activant certaines séquences de l’ADN par résonance électromagnétique comme déjà vu dans l’article paru dans la B.E. du N°39.

Une petite partie du grand mystère de la mémoire de l’eau serait peut-être levé !

Une expérience de physique connue mettant en évidence la production d’un potentiel électrique lorsque l’eau circule dans un conduit. Cette expérience est décrite par Robert Endrös dans son ouvrage "Le rayonnement de la terre et son influence sur la vie" éditions Au Signal (Lausanne)

Ce phénomène explique pourquoi à l’aide d’un magnétomètre (appareil de mesure du champ magnétique) on peut déceler les cours d’eau souterrains par la variation du champ magnétique qu’ils induisent.

Lorsqu’un sel est dissout dans l’eau, il se forme autour de ce sel trois couches d’eau :

a) l’eau libre
b) l’eau structurée
c) l’eau liée.

L’eau liée l’est étroitement à la molécule de sel dissoute et ne peut s’en séparer que par évaporation ou électrolyse, autant dire qu’il faut de l’énergie pour y parvenir. L’eau structurée se forme autour de l’eau liée à la molécule. Selon certains chercheurs, elle serait à l’origine des effets de toutes les molécules chimiques introduites dans l’organisme.

Les clusters sont des structures cristallines de l’eau, ou agglomérats moléculaires formés par la liaison hydrogène, dont la forme et la taille varient selon l’information véhiculée. Ces structures sont mises en évidence par les travaux du docteur Masaru Emoto dont le livre "Le message de l’eau" offre au lecteur des images très révélatrices sur les structures cristallines de l’eau. Ces structures composées de macromolécules d’eau contenant des informations pénètrent la membrane cellulaire probablement par le biais des canaux ioniques et sont « digérées ». L’eau structurée ne serait rien d’autre que ces structures.

Certains chercheurs pensent même que seul l’eau structurée aurait un effet sur les cellules et non la matière dissoute.

Le plan le plus fragile de cette structure est celui qui regroupe le plus de molécules.

Toutes ces liaisons sont effectuées sur la liaison hydrogène, liaison la plus fragile.

Ces appareils modifient le terrain par une approche Bio-Électronique et ne peuvent donc se substituer à tout autre traitement médical

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