Remontees capillaires

La Technologie du Futur

pour le Bien-Être

d’Aujourd’hui

Le site de Dominique MORET

Ces appareils modifient le terrain par une approche Bio-Électronique et ne peuvent donc se substituer à tout autre traitement médical

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de froid

Humidité

Les remontées capillaires sont aussi appelées remontées humides, humidité ascensionnelle ou encore tout simplement remontées d’eau.

Certains techniciens expliquent les remontées capillaires en s’appuyant sur le modèle du sucre plongé dans le café. Ils ont à la fois tort et raison, ce qu’ils décrivent étant la loi de Jurin (parfois mentionnée sous le terme « effet de mèche »). Cet effet ne permet à l’eau de remonter que de 15 cm seulement dans les capillaires.

Ce phénomène se vérifie dans tous les matériaux de construction : plus le capillaire est mince, et plus l’eau monte dans le matériau. La présence d’humidité à une hauteur pouvant s’élever jusqu’à 1 m ou 1,50 m dans certains murs ne peut donc avoir pour seule et unique cause physique la capillarité.

Si l’on considère les courants électriques telluriques (ou électro-telluriques) du sous-sol, on observe un courant d’induction dans les murs (loi de Maxwell). Il en résulte l’apparition de ce que l’on appelle une force électromotrice (f.é.m.) qui génère dans l’eau contenue dans les capillaires des murs une force ascensionnelle ayant pour effet de pousser les molécules d’eau vers le haut du mur.

La mesure physique de ces charges électriques est possible par toute personne munie d’un voltmètre. Une sonde doit être mise en contact avec la partie humide du mur et l’autre avec la partie sèche.

Le voltmètre indiquera une tension pouvant varier de quelques dizaines de millivolts à plusieurs volts. Les bâtiments qui n’ont pas d’arase d’étanchéité sont, par nature, exposés à ces problèmes de remontées provoquées par les courants induits par les phénomènes naturels souterrains. Les cours d’eau et les failles dans la plaque rocheuse, génèrent inévitablement un potentiel électrique. Celui-ci est la source qui permet à l’eau , présente dans la terre, de monter dans le mur, poussée par une f.é.m.

Ce champ électrique aspire littéralement les molécules vers le haut jusqu’à ce que les forces en jeu s’équilibrent (à une hauteur parfois variable). Parallèlement à cela, un autre phénomène entre en jeu : eau + acidité + sels = pile. La f.é.m. s’en trouve renforcée, provoquant une remontée plus importante de l’eau dans le mur. Plus les murs sont conducteurs et plus ils sont exposés à ce phénomène.

Notre solution

Le traitement scalaire élimine le phénomène des remontées capillaires à l'origine. C'est un procédé électronique basé sur un principe qui ne nécessite aucun travaux sur les murs extérieurs. Ce système, contrairement aux autres, ne s'occupe pas de l'humidité ascensionnelle directement, mais s’attaque à la cause et à son origine.

Le système électronique développe un champ électromagnétique qui va précisément entrer en opposition avec les champs générés par les phénomènes naturels, dans les murs. On obtient ainsi une disparition quasi totale de ces champs électriques (dans les murs, encore une fois). Le peu qui subsiste ne permettant pas à l'eau de remonter le long des capillaires. La différence de potentiel devient ainsi à peine mesurable sur un voltmètre. Même les qualités de l'eau sont modifiées : le Ph acide est abaissé, la résistivité augmente, cela permet d'agir sur la tension superficielle ainsi que l'angle du ménisque dans les capillaires, de la même manière, le phénomène de pile est désamorcé.

L'appareil Alpha OHM responsable de ces effets s'alimente dans les champs générés par ces mêmes perturbations (courants électriques telluriques et environnement électromagnétique). L'énergie nécessaire à son fonctionnement est de l'ordre du micro Watt, c'est-à-dire du millionième de Watt. Ainsi les contre-mesures sont prises, ce qui a pour résultat de régler le problème à la source.

Alors le mur redevient sec et sain, même à distance de l'appareil. L'intérêt est double : pas de dégradation par des travaux, aucune modification inesthétique ou physique pour la mise en place.

Les remontées capillaires proviennent d’eau du sous-sol empruntant les capillaires des matériaux de construction pour remonter à des hauteurs variant de 0,20 cm à 1,80 m.

Elles transportent en leur sein des sels présents dans la nappe phréatique (potasse, sulfate, nitrates etc...), à l’origine des tâches sur les enduits.

Le bien perd de sa valeur, la réfection d’un enduit (même étanche) sur ce genre de tâches n’est qu’un cache misère momentané.

Les remontées capillaires?

Alpha OHM est posé au centre de la maison à environ

1,80 m de hauteur sur une étagère, dans un placard, sous un escalier, dans un caisson etc...

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