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Par Dominique Moret - ingénieur bio-électronicien géobiologue inventeur

Un rappel avant de commencer, la différenciation cellulaire est la spécialisation des cellules indifférenciées pour construire telle ou telle partie ou organe du corps. Cette différenciation ou spécialisation reste un grand mystère dans la construction du corps d’un être vivant. Nous avons vu au cours des articles précédents comment fonctionne le corps d’un être vivant possédant un cœur (Le fonctionnement homéopathique du corps, Hypothèse sur le SIDA, La vieillesse expliquée). Reprenons sommairement, le corps est parcouru par un système d’irrigation, la circulation sanguine, dans lequel circulent des milliards de clusters (1) servant à entretenir le fonctionnement harmonieux de l’ensemble des cellules ainsi qu’au pilotage de toute action comme celles du système immunitaire.

Maintenant plantons le décor, le corps des êtres vivants est parcouru par un ensemble de structures collagènes orientées (2), les méridiens, dont la fonction semble être le pilotage de chaque fonction ou organe. Ces lignes de communications informent le système central sur l’état de chaque fonction ou organe, lui permettant ainsi de réajuster le fonctionnement. Cette structure capable de véhiculer des signaux électriques pourrait être le reste de la structure d’origine permettant la différenciation cellulaire.

Au départ une cellule qui se divise en deux cellules filles. Jusqu’ici rien d’extraordinaire, nous avons maintenant un groupe de cellules plus important, quelques milliers. Là, les choses se compliquent, comment font-elles pour se différencier les unes des autres et construire avec le même matériel des choses si différentes ? Tout d’abord rappelons que nous avons dans d’autres articles parus, la clef d’une partie du mystère. L’eau autour de la cellule est la mémoire de la cellule, elle permet par un phénomène de résonance d’agir directement sur certaines séquences de l’ADN en les excitant, pilotant ainsi la cellule dans la fabrication des protéines.

Donc nous avons nos quelques milliers de cellules possédant à la périphérie une structure énergétique, amorce de structure collagène orientée qui deviendra plus tard les méridiens. Cette structure permet l’organisation spatiale de la différenciation cellulaire. Cette structure véhicule des flots d’informations électriques issues de l’ébauche du système central (tube neural), créant ainsi des nœuds ou des zones de silence au sein du groupe de cellules. Les nœuds seront au centre de notre intérêt, ils provoquent l’apparition de certains clusters dans l’eau entourant la cellule, la pilotant dans son mode de fonctionnement et lui indiquant ainsi ce qu’elle doit être et à quelle allure elle doit se diviser. Ces nœuds de résonance sont obtenus lorsque l’on fait parcourir à un conducteur un signal électrique sinusoïdal, le signal effectue un aller puis un retour. Lors du retour il rencontre le signal de l’aller et à cet endroit nous avons ainsi un nœud ou une résonance électromagnétique permettant un état cristallin de l’eau différent à cet endroit et autour de cette zone. Une fréquence précise donne donc un nœud à un endroit précis du circuit, mais aussi un message précis. Nous avons ainsi la différenciation, et avec le même signal, la localisation spatiale dans le groupe de cellules (3). C’est merveilleux de simplicité et d’efficacité. La nature utilise les phénomènes naturels tel la propagation des ondes pour véhiculer le signal, et la lenteur de la propagation pour la localisation. Il y a fort à parier que chaque signal ne peut entrer en résonance qu’à des endroits particuliers dans l’amas de cellules. Un bel exemple nous est fourni par une photo parue dans l’article sur « Les ondes électromagnétiques et la vie » dans la B.E. N° 39. Un réseau apparaît lorsque nous avons deux phénomènes concomitants, des ondes électromagnétiques et des lignes de forces d’un champ magnétique, n’oublions pas que certaines cellules peuvent contenir des matériaux magnétiques donc sont capables d’engendrer un champ magnétique même léger.(4)

La localisation spatiale en 3 D est ainsi possible, nous avons un réseau physique l’embryon de méridiens, un signal électromagnétique généré et parcourant ce réseau, ainsi qu’un champ magnétique faible. Nous pouvons ainsi amorcer une localisation spatiale en trois dimensions car nous avons trois paramètres : une structure en surface (les méridiens) ; un signal (généré par l’ensemble des cellules du tube neural créant un signal électromagnétique complexe) qui par résonance va localiser à la surface de cette structure un endroit particulier ; et enfin un champ magnétique avec des lignes de forces pour localiser en profondeur. Le reste est une affaire de signaux particuliers donnant des ordres différents aux cellules concernés lors de la localisation. Les cellules font le reste, à savoir la construction lors de la division, construction possible à l’aide des clusters contenant une information propice à générer un groupe de protéine en activant directement les séquences ADN concernées.

Damadian insiste sur le fait que, de façon concomitante, les cellules se différencient lorsqu’elles accumulent des ions potassium. Or ceux-ci sont connus pour casser l’organisation de l’eau structurée. Ces ions potassium seraient donc là pour verrouiller la cellule dans son programme. Une fois reçue l’information, la cellule se fige grâce aux ions potassium qu’elle fabrique et qui la rendent inaccessible à d’autres programmes (clusters). Sa différenciation se fait maintenant, elle peut donner naissance à un organe, membre ou autre.

Une expérimentation réalisée à plusieurs reprises sur des œufs de poule fécondés et exposés à des ondes électromagnétiques, nous donne toutes les indications nécessaires. Le non-développementt de ces embryons est significatif, et révèle en lui-même le mode de fonctionnement de la différenciation cellulaire. Les ondes électromagnétiques émises à l’extérieur ont la capacité de brouiller les fragiles signaux circulant sur ces structures dans l’embryon de l’œuf. Cet effet de brouillage on peut le constater en faisant une mesure avec un multimètre de labo équipé d’une sonde pour capter les signaux haute fréquence circulants sur les méridiens d’un individu adulte, si à proximité un téléphone portable est utilisé, les paquets d’émissions vont être captés sur ses méridiens. On pourrait même reconstituer la conversation entre les deux correspondants ! ! !. Ce brouillage électromagnétique empêcherait la différenciation de la cellule, elle ne pourrait s’isoler grâce aux ions potassium car incapable de les fabriquer. Elle resterait ainsi à recevoir une multitude d’information ne la concernant pas et n’ayant pas le moyen de s’en isoler, un peu comme un magnéto resté ouvert et enregistrant toutes les conversations environnantes et sans intérêt pour celui qui enregistrait.

Sous cet éclairage nouveau il est ainsi plus aisé de comprendre les malformations des embryons de poulets exposés à des radiations électromagnétiques. Mais se profile aussi la possibilité d’agir sur la formation ou la malformation de l’embryon, et sans conscience c’est la porte ouverte à des abus de tout genre sur la manipulation des embryons. Nos chers industriels se prendront à rêver de poulet possédant huit ailes ou huit pattes selon les besoins et les goûts des consommateurs ! !

(1) Les clusters sont des structures cristallines de l’eau, ou agglomérats moléculaires formés par la liaison hydrogène, dont la forme et la taille varient selon l’information véhiculée. Ces structures sont mises en évidence par les travaux du docteur Masaru Emoto dont le livre "Le message de l’eau" offre au lecteur des images très révélatrices sur les structures cristallines de l’eau. Ces structures composées de macromolécules d’eau contenant des informations pénètrent la membrane cellulaire probablement par le biais des canaux ioniques et sont « digérées ». L’eau structurée ne serait rien d’autre que ces structures.

(2) Le collagène est un des constituants de la peau, c’est aussi un semi-conducteur capable de conduire l’électricité s’il est orienté ou polarisé.

(3) Robert Becker nous indique que "Des expériences électriques ont été menées et portaient sur la régénération d’un membre sur un rat." Cette régénération était incomplète car ne reproduisant pas les conditions électromagnétiques pour la différenciation cellulaire.

(4) Dans la mission Neurolab, organisée par la NASA dans les années 90, la rotation corticale observée sur des œufs d’embryon de salamandre et qui permet de mettre en place la symétrie du corps était orientée, on le pensait, grâce à la gravitation. Mais des expérimentations en apesanteur nous prouvent qu’il n’en est rien, et que la gravitation n’y est pour rien, pourquoi ne serait-elle pas due à la présence du champ magnétique. Les expériences menées en apesanteur à bord de stations spatiales ou de la navette américaine, à une altitude de quelques centaines de kilomètres le sont dans un champ magnétique plus faible qu’à la surface de la terre, mais néanmoins présent. L’être vivant nous a habitué à une sensibilité extraordinaire, alors pourquoi en serait-il autrement pour le champ magnétique. Cette hypothèse reste la seule valable à ce jour, car la seule force capable de traverser une paroi métallique pour agir ainsi sur les êtres vivants. C’est une preuve supplémentaire de l’effet d’un champ magnétique sur le développement de l’embryon. Cependant le développement de l’embryon n’est pas parfait en apesanteur, peut-être cela est-il due à un champ magnétique plus faible, le tube neural ne se ferme pas totalement sur une partie des embryons testés, sans nuire cependant à leur développement.

Ces appareils modifient le terrain par une approche Bio-Électronique et ne peuvent donc se substituer à tout autre traitement médical

Publications
Differenciation cellulaire

La différenciation cellulaire chez l’embryon